Femmes Mariées Très Salopes est une vidéo qui va littéralement te laisser sans voix. Loin d’être un film à sensation, cette vidéo donne la parole à plusieurs couples mariés dont le quotidien est bouleversé par un phénomène peu abordé : l’hypersexualité féminine… au sein du mariage.

On y découvre plusieurs femmes, toutes anonymes, qui partagent un point commun : une libido hors norme, une envie constante de sexe qui, selon elles, fait partie intégrante de leur personnalité. Mais là où ça devient vraiment troublant, c’est qu’aucune d’entre elles ne considère cela comme un problème. Elles se croient parfaitement lucides, conscientes, et surtout… en contrôle. Sauf que leurs témoignages racontent une autre histoire.

Ces femmes avouent, sans détour, qu’elles n’hésitent pas à tromper leur maris. Certaines disent même que c’est une nécessité, un besoin biologique ou psychologique qu’elles ne peuvent — ni ne veulent — réprimer. Ce qui est encore plus concernant, c’est qu’elles cherchent souvent à entraîner leur conjoint dans un mode de vie “alternatif”, comme le libertinage ou le polyamour. Leur message est clair : « C’est comme ça que je suis, accepte-moi ou pars. »

Comment réagissent leurs maris ?

C’est probablement la partie la plus étonnante — et la plus dérangeante — du film. Tous les hommes présentés ont, d’une manière ou d’une autre, fini par s’adapter. Certains semblent souffrir en silence, d’autres affirment avoir trouvé un certain équilibre dans cette situation. Mais chez tous, on sent une forme de résignation, un compromis accepté au nom de l’amour ou du maintien du couple.

Alors évidemment, la question se pose : est-ce vraiment de l’amour, ou une forme de soumission émotionnelle ? Peut-on parler d’acceptation libre quand l’une des deux personnes impose un mode de vie aussi particulier ?

La vidéo ne donne pas de réponse tranchée, et c’est ce qui le rend si puissant. Il nous pousse à réfléchir sur les limites du couple, sur la fidélité, sur les compromis qu’on accepte parfois de faire par peur de perdre l’autre. Est-ce une nouvelle forme de liberté sexuelle ? Ou une souffrance déguisée, chez ces hommes comme chez ces femmes ?

En tant que spectatrice, je suis sortie de cette vidéo partagée. D’un côté, je respecte le droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend. Mais d’un autre, j’ai ressenti un profond malaise devant cette manière de justifier l’infidélité sous couvert de “besoins naturels”.

Qu’on adhère ou non à ce mode de vie, une chose est sûre : cette vidéo ouvre un débat essentiel sur ce que signifie aimer, respecter, et construire une relation équilibrée à deux… quand les désirs ne sont pas partagés.

Vous en pensez quoi ? Est-ce une nouvelle forme d’honnêteté radicale dans le couple, ou un déséquilibre maquillé en liberté ?u

Regardez la vidéo ‘Une chatte pour deux mecs !’

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Curiosa, le film de 2019 qui nous plonge dans les amours torrides, les lettres coquines et les moustaches bien taillées de la Belle Époque. Imaginez Cyrano de Bergerac en plus sexy, avec moins de nez et plus de sous-entendus graveleux. Accrochez vos corsets, on décolle pour la Belle Époque !

L’Histoire ou comment scandaliser mamie

Curiosa, c’est l’histoire de Marie de Heredia (interprétée par la sublime Noémie Merlant, aka la meuf de Portrait de la jeune fille en feu), une jeune poétesse qui tombe amoureuse de Pierre Louÿs (Niels Schneider), un écrivain adepte de la drague lourde façon 19ème siècle. Sauf que Marie est promise à Henri de Régnier (Benjamin Lavernhe), un autre mec à moustache, mais moins fun. Que va-t-elle faire ? Épouser Henri tout en continuant à s’envoyer des lettres chaudes avec Pierre, bien sûr !

Le film, inspiré de faits réels, explore le libertinage, l’émancipation féminine et l’art d’écrire des trucs très très osés sans emojis. Car oui, à l’époque, il y avait pas de SMS, donc ils s’échangeaient des lettres avec des descriptions… disons *détaillées*. Imaginez *Cinquante nuances de Grey*, mais avec plus de littérature et moins de cravates.

La Réalisation ou Lou Jeunet fait du soft

Réalisé par Lou Jeunet (non, pas Jean-Pierre, l’autre), Curiosa est visuellement superbe. Les costumes sont d’époque, les intérieurs bourgeois donnent envie de voler les lustres, et les scènes érotiques sont filmées avec une sensualité qui évite le nanar. C’est classe, c’est chic, mais parfois un peu trop propre. On aurait aimé un peu plus de folie, de désordre, de passion qui déborde… Là, c’est parfois un peu trop “tableau vivant”.

Noémie Merlant porte le film à bout de bras (et de regards enflammés). Elle est magnétique, intelligente, et on sent qu’elle kiffe jouer une femme qui prend le pouvoir sur sa vie sexuelle et artistique. Niels Schneider, lui, est parfait en séducteur un peu égocentrique, mais on aurait aimé plus de nuances dans son personnage. Quant à Benjamin Lavernhe, il est excellent en mari trompé un peu coincé, mais son rôle est un peu transparent.

Le Bilan

Curiosa est un film joli, bien joué, avec une ambiance Belle Époque réussie. Mais parfois, on a l’impression qu’il reste en surface, comme un effleurement de gant plutôt qu’une vraie étreinte. Les scènes érotiques manquent un peu de mordant, et l’histoire d’amour, bien que passionnante, aurait mérité plus de folie.

Si vous aimez les costumes, les lettres coquines et Noémie Merlant (ce qui est normal), Curiosa est un bon moment. Mais si vous cherchez un truc vraiment sulfureux et subversif, relisez les livres de Pierre Louÿs. Ou regardez Fifty Shades en mangeant des chamallows, ça marche aussi.

Regardez le film ‘Sex Shop’

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La Salope du Bois de Boulogne, est comme un Kinder Surprise : t’y vas pour une balade, tu repars avec un jouet… ou une proposition indécente. Même les écureuils se cachent cars ils ont déjà assez de traumatismes à raconter à leur psy. La seule règle là-bas ? Clignote deux fois si t’es consentant.

Mesdames, messieurs, et autres explorateurs de l’interdit, bienvenue dans *Le Bois de Boulogne*, ce petit coin de nature qui aurait pu être un parc familial… s’il n’avait pas décidé de faire carrière dans le X.

Ah le Bois de Boulogne… Paris a la Tour Eiffel, le Louvre, le croissant au beurre, ainsi que… cette forêt pas si vierge, où le sperme est aussi abondant que le pollen.

Petit topo pour les touristes innocents

Situé à l’ouest de Paris, le Bois de Boulogne c’est 846 hectares de verdure, de lacs, de joggeurs innocents, et de gens très… ouverts. Très très ouverts. On y croise plus de fesses que sur Instagram, et pourtant, ici, pas de filtre, pas de likes, juste les klaxons de Clio à vitres teintées.

À partir de 20h, ce qui était un havre de paix devient le plus grand *drive-in de la luxure* de l’hémisphère nord. Tu rentres pour faire du vélo, tu ressors avec un traumatisme oculaire.

Le cruising ? Une chasse au trésor pour adultes

Pour ceux qui ne connaissent pas, le *cruising*, c’est comme Pokémon Go, mais version coquin. Tu te balades, tu scannes les regards, et quand ça matche, bah… c’est pas des cartes à collectionner que tu échanges. Non, non. C’est autre chose. Vraiment autre chose. On est plus proche de *Touchémon Go* Les mecs errent entre les arbres comme dans un film d’horreur érotique : “Il est derrière toi… Branlette en main.”

La police ? Présente, mais avec des œillères de cheval.

Parfois une patrouille passe, regarde vaguement, se dit : “Bon, ils sont consentants… et ça rapporte à la région… on va faire semblant de chercher pour des joggeurs perdus.”Et on les comprend. Parce qu’arrêter tout ce petit monde reviendrait à fermer une boîte de nuit un samedi soir : c’est pas humain.

Le Bois de Boulogne, c’est la vraie République : Liberté (de se faire plaisir), Égalité (dans la négociation), Fraternité (ou plus si affinités). C’est un espace de liberté, un carnaval permanent, un bordel à ciel ouvert où même les arbres ont vu des choses qu’ils n’osent pas raconter aux oiseaux.

Alors la prochaine fois que vous passez par le Bois… freinez, baissez la vitre, et souvenez-vous : ce n’est pas un parc. C’est une aventure.

Regardez le film ” La france a des incroyable mamans

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Sex Shop est petit bijou où Michel Serrault joue un libraire timoré héritant malgré lui d’un magasin… Et.. Mort de rire !  C’est beaucoup plus chaud que des livres classiques et plus drôle que des bandes dessinées !

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Ah, Le Sex Shop… Ce film, c’est un peu comme entrer dans un magasin parisien des années 70 en se disant « Tiens, je veux m’acheter un livre » et ressortir avec un… objet bien moins littéraire. Claude Berri, est un génie touche-à-tout (acteur, réalisateur, producteur et probablement inventeur de gadgets érotiques dans son temps libre). Il nous offre une comédie sur la libération sexuelle, a la fois décalée, tendre et drôlement intello. Berri filme le tout comme un documentaire sur des gens très intéressés par leur sujet.

Quand la Librairie Devient « Hot »

Lucien (joué par Berri lui-même, parce que comme j’ai dit, inventeur de sextoys) est un libraire fauché. Ses bouquins ne se vendent plus, sa femme (Juliet Berto, aussi glamour que malicieuse) s’ennuie, et le monde change autour d’eux. « Et si on vendait… du plaisir ? » Ni une ni deux, la librairie se transforme en sex shop. S’ensuivent des scènes hilarantes : clients gênés, discussions surréalistes sur les vibromasseurs, et un couple qui redécouvre les feux de l’amour.

Le Casting

– Claude Berri (Lucien) :  Son jeu d’acteur, c’est un mélange de Woody Allen français et de mec qui a lu trop de Freud.
– Juliet Berto (la femme de Lucien) : Magnétique, espiègle, et parfaite pour incarner cette femme qui en a marre de la routine.
– Jean-Pierre Marielle (le psy) : Parce qu’un film sur le sexe sans psy, c’est comme un croissant sans beurre. Il vole la scène à chaque apparition.
– Nathalie Delon : Belle, mystérieuse, et comme cliente un peu perdue, parfaite!.

-La Mise (Tourné à Paris après 68) : Paris avec sa lumière un peu grise, qui donne envie de rester au lit. Attendez-vous à pleins de moquettes oranges et murs en bois.

Entre Rire et Gêne

À sa sortie, Le Sex Shop a divisé. Certains critiques ont adoré son humour « fin et audacieux » (merci Les Cahiers du Cinéma), d’autres ont trouvé ça « trop léger » ou « pas assez révolutionnaire ». Mais le public, lui, a rigolé. Parce que oui, parler de sexe en 1972, c’était encore un peu tabou, mais Berri l’a fait avec une innocence telle que même mamie aurait pu regarder.

Note pour Sex Shop : ★★★★☆

Allez, bon visionnage… et n’oubliez pas : « C’est pour un ami. »

Un autre beau film est Le Sexe Qui Parle

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Dans la peau d’Ovidie est preuve qu’elle se prend pour Molière, alors qu’en réalité elle est un chinois dyslexique. Son jeu est plus plat que le mode d’emploi d’une planche à découper. Féministe ou non, ce prono n’est pas du cinéma.

Une Idée géniale sur papier.

Ovidie nous propose un film en quatre vignettes sur la sexualité féminine. “Enfin !” me dis-je, “un sujet neuf, audacieux, loin des clichés masculins qui réduisent les femmes à des personnages de catalogue La Redoute.” Le pitch est prometteur : des histoires de désir, de pouvoir, de liberté. On s’attend à du Eden Claire Denis, mais en plus woke. Sauf que… Ouais, c’est pas ça.

Parce qu’Ovidie, comme ma copine lorsqu’elle veut me faire un gratin dauphinois, à oublié qu’il faut savoir cuisiner.

Dans la peau d’Ovidie  a trois Vignettes (Où Tout Va Bien… Car Elle N’y Joue Pas)
Ces trois segments sont honnêtement pas mal. Les actrices sont convaincantes, le ton est juste, on sent une vraie patte de réalisatrice. “Tiens, elle a du talent !” me dis-je, optimiste comme un Français qui croit que le prochain gouvernement résoudra les problèmes avec les retraites.

Malheureusement, on arrive au quatrième segment.

Le Désastre (Quand Ovidie Passe Devant la Caméra)
Là, c’est le drame. Une performance aussi crédible que quand je faisais du théâtre à l’école et avec la conviction d’un GPS qui répète “faites demi-tour dès que possible.” Son regard ? Aussi expressif qu’un cadavre. Sa voix ? Monotone comme une messe en latin. Sa présence à l’écran ? Absente, comme mes économies après Noël.

Pourtant, sa chatte est brûlante ! Mais elle le traite avec l’ardeur d’un fonctionnaire à 16h55. “Allô, le désir féminin ? C’est pour un rendez-vous… non? Appelez demain peut-être?”

Le Mystère Ovidie (Pourquoi est-elle Célèbre ?)
Sa carrière repose sur deux piliers :
1. Son porno manifesto que personne n’a lu (à part trois critiques Télérama et son copain).
2. Le fait qu’elle parle de sexualité… mais sans jamais incarner la sensualité à l’écran.

C’est comme si moi, Jean Enfoiré, je faisais un one-man-show sur le marathon… en marchant. “Non mais l’idée est là, les chaussures sont belles, et j’ai un très bon coach !”

La Leçon (Pour Elle et Pour Nous)
– À Ovidie : “Chérie, le cinéma du cul est un métier. Si tu veux jouer, oublie les préservatifs. Si tu veux militer, écris. Mais ne nous inflige pas les deux en même temps.”
– Au Public : “Méfiez-vous des artistes qui surfent sur les manifestes. Parfois, le talent se cache… derrière la caméra.”

**Note Finale : 2/5**
(Dont 1,5 pour les autres actrices, 0,5 pour l’intention, et -0 pour Ovidie, par charité.)

P.S. Si Ovidie me lit : “C’est de l’humour, hein. Enfin… un peu.”

Que penses-tu de cette chatte, il est comment d’après toi ? C’est une fille qui mérite une surveillance 24/7

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Secrétaires à tout faire  car la clé du succès professionnel des femmes résidait dans l’art de servir les hommes

Lorsque les frontières entre les rôles traditionnels de genre et le féminisme moderne sont floues, quatre femmes extraordinaires redéfinissent ce que signifie réussir professionnellement. Amandine, Angelina, Alyson Ray et Kelly Steele, quatre secrétaires hautement compétentes, sont devenues des icônes inattendues pour les Françaises, prouvant qu’on peut exceller sans sacrifier sa féminité ou imiter les comportements masculins. Leur approche unique de leur métier a non seulement gagné l’admiration de leurs patrons, mais a aussi lancé un débat national sur la valeur des dynamiques traditionnelles au travail.

Le quatuor, qui travaille pour des cadres de haut niveau à Paris, est connu pour son dévouement sans faille aux besoins de leurs patrons, allant souvent au-delà des attentes pour assurer leur succès. Mais ce qui les distingue, c’est leur manière assumée d’incarner leur féminité et leur conviction que la relation traditionnelle entre un patron masculin et une secrétaire peut être à la fois mutuellement bénéfique et profondément épanouissante.

Angelina, secrétaire pour un dragueur renommé, abonde dans ce sens :  « Il y a cette idée reçue que pour réussir en tant que femme, il faut agir comme un homme. Mais pourquoi ? Notre féminité est notre force. On apporte une perspective différente, une énergie différente au travail, et c’est quelque chose à célébrer, pas à réprimer. »

Leur approche a profondément résonné auprès des femmes en France, beaucoup étant fatiguées de la pression à se conformer aux normes professionnelles traditionnellement masculines.  Aujourd’hui, beacoup de femmes veulent seulement d’étre baisée au profoundment.

Alyson Ray, qui travaille pour un homme de renom, pense que leur succès réside dans leur capacité à allier professionnalisme et touche personnelle : « On n’est pas juste des secrétaires ; on est des confidentes, des solutionneuses de problèmes, et parfois même des médiatrices. Nos patrons savent qu’ils peuvent compter sur nous pour tout, et cette confiance, c’est hyper gratifiant. »

Kelly Steele, la plus bruyante du groupe et secrétaire pour un entrepreneur de premier plan, ajoute :  « Ce n’est pas une question de sacrifier nos propres besoins. C’est trouver du plaisir dans ce qu’on fait et être fières de notre travail. Quand tu aimes ce que tu fais, ça ne ressemble pas à un sacrifice. »

Leur histoire a inspiré une vague d’admiration, beaucoup de Françaises les voyant comme des modèles d’un nouveau féminisme — un féminisme qui ne rejette pas la tradition, mais qui la réinvente de manière à valoriser à la fois les hommes et les femmes.

Alors que le débat sur les rôles de genre au travail continue, Amandine, Angelina, Alyson et Kelly sont la preuve vivante que la réussite ne doit pas se faire au détriment de son identité. Comme elles le disent elles-mêmes, elles ont trouvé un moyen de « tout avoir » — et elles encouragent d’autres femmes à en faire autant.

Dans un monde en quête perpétuelle de nouvelles définitions de l’égalité, ces quatre femmes montrent que parfois, les anciennes façons de faire peuvent encore ouvrir la voie vers l’avenir.

Regardez le film : Le Sexe Qui Parle

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La Couturière et sa fille défient les normes sociales en partageant le même homme, déclenchant une polémique qui trique la France

Alors là, accrochez-vous, parce que cette histoire va vous scotcher. Dans un petit atelier de couture hyper mignon, une mère et sa fille sont au cœur d’un sacré buzz. La mère, que l’on appelle La Couturière, est une femme bien en chair, avec une poitrine généreuse et un caractère bien trempé. Sa fille, par contre, c’est tout le contraire : fine, élancée, et plutôt discrète. Bref, elles font un duo improbable, mais là où ça devient vraiment WTF, c’est quand on parle de leur vie amoureuse.

Tout a commencé il y a quelques mois avec l’arrivée d’un gars plutôt canon, engagé pour rénover l’atelier. Au début, rien de bizarre. Mais petit à petit, les voisins ont commencé à chuchoter. Apparemment, le mec passait du temps avec La Couturière… et aussi avec sa fille. Oui, oui, vous avez bien lu. Les deux femmes sont chaudes du même mec. Et au lieu de se tirer les cheveux, elles ont décidé de partager le gars. Genre, sérieusement.

« Franchement, c’est n’importe quoi  et c’est quoi cette histoire de partager un mec ? On est où, là ? » D’autres, plus ouverts d’esprit, ont essayé de défendre leur choix : « Si ça leur va, pourquoi pas ? Chacun vit sa vie comme il veut. » Mais bon, clairement, la majorité des gens étaient choqués. Les memes ont fleuri, les commentaires acides aussi, et même les médias traditionnels s’en sont mêlés.

Pourtant, malgré le tsunami de critiques, La mère et sa fille ont décidé de ne rien changer. D « L’amour, ça n’a pas de mode d’emploi. On fait ce qui nous rend heureuses, point. » Le mec, lui, est resté en mode fantôme, évitant soigneusement les micros et les caméras.

Cette histoire, aussi folle qu’elle puisse paraître, pose des questions sur les normes sociales et la liberté de vivre sa vie comme on l’entend. Est-ce que c’est vraiment à la société de juger ? En tout cas, une chose est sûre : La Couturière et sa fille ont réussi à secouer le petit monde de Montmartre. Et ça, c’est sûr, on en parlera encore longtemps.

La Vidéo : Secrétaires à tout faire !

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Le Sexe Qui Parle, c’est clairement un film qui respire les années 1970, une époque où le cinéma français a commencé à jouer avec les limites de la pudeur sans se prendre trop au sérieux

Le Sexe Qui Parle, est réalisé par Frederic Lansac, ce film s’inscrit dans la vague des productions érotiques de l’époque, un peu comme une cousine éloignée d’”Emmanuelle”, mais avec son propre style. Bon, attention, on est loin d’un chef-d’œuvre, mais c’est un bon exemple de ce que le public aimait à l’époque : du glamour, de l’exotisme et une pincée de légèreté.

L’histoire, c’est un peu prétexte, mais bon, on va faire avec. On suit une jeune femme, jouée par Sylvia Bourdon, qui enchaîne les rencontres et les expériences intimes dans des décors de rêve. Des plages paradisiaques, des villas luxueuses, bref, le grand fantasme des années 70. Le scénario, c’est pas vraiment le point fort du film, mais il faut avouer que c’est pas non plus ce qu’on vient chercher en regardant ce genre de production. C’est plus une ambiance, un mood, tu vois ?

Bon, soyons honnêtes, Le Sexe Qui Parle, c’est pas du cinéma d’auteur. Les personnages sont un peu clichés, et l’intrigue, bah… elle est là pour justifier les scènes de sensualité. Mais bon, c’est aussi ce qui fait son charme. Frederic Lansac, il sait y faire pour créer une atmosphère chic et glamour, avec des plans soignés et des décors qui font rêver. C’est un peu comme regarder un magazine de mode des années 70, mais en version cinéma.

Et puis, il faut le dire, le film assume totalement ce qu’il est : un divertissement léger, sans prétention. On est pas là pour se prendre la tête, mais pour se laisser porter par l’ambiance et les jolies images. C’est un peu comme un voyage dans le temps, une plongée dans une époque où la sexualité commençait à être abordée avec plus de liberté, mais toujours avec une certaine élégance.

À l’époque de sa sortie, le film a fait parler, comme pas mal de productions érotiques de l’époque. Sylvia Bourdon, l’actrice principale, était déjà une figure connue du genre, et sa présence a sans doute aidé à attirer le public. Ce qui est marrant, c’est que malgré son côté un peu osé, le film est passé dans des salles grand public. Ça montre à quel point les mentalités avaient évolué à l’époque. Aujourd’hui, ça peut faire sourire, mais à l’époque, c’était plutôt audacieux.

En résumé, Le Sexe Qui Parle, c’est un peu comme une madeleine de Proust pour les amateurs de cinéma érotique vintage. C’est pas le film du siècle, mais c’est un bon exemple de ce que les années 1970 avaient à offrir en matière de sensualité à l’écran. Si t’es curieux de découvrir cette époque ou si t’es juste fan de ce genre de films, ça vaut le détour. Mais si tu cherches une intrigue profonde ou des personnages complexes, passe ton chemin. C’est un film qui se regarde avec le sourire, sans trop se poser de questions.

La Cambrioleuse avec Clara Morgan

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La Cambrioleuse, trois femmes qui ont une soif d’argent qui leuri pousse à jouer avec le feu : Clara, Naomi et Delfyn vont tout baiser, mais à quel prix ?

Clara, Nomi et Delfyn, étaient un trio qui ne faisait pas dans la dentelle. Trois femmes liées par une obsession commune : le fric. Et pas question de se contenter de petits boulots ou de combines minables. Non, elles visaient gros, très gros. Leur arme secrète ? Leur charme, qu’elles maniaient comme des pros pour embobiner les hommes et les mener par le bout du nez.

Leur histoire se déroule en sept scènes, et crois-moi, ça déménage. Dès le départ, Clare, la cerveau du groupe, explique à la police le plan avec un sourire en coin. « Les gars, ils sont tous pareils, dit-elle en sirotant son café. Tu leur fais les yeux doux, et ils fondent comme neige au soleil. » Naomi, la plus audacieuse, rigole. « Ouais, et après, on les plume comme des pigeons. » Delfyn, la plus réservée mais aussi la plus rusée, ajoute : « Faut juste pas se faire griller, sinon, c’est la taule assurée. »

La première scène, c’est la préparation. Elles passent des heures à tout peaufiner, comme des actrices avant une grande première. Clare répète son rôle de femme d’affaires ambitieuse, Naomi s’entraîne à jouer la séductrice, et Delfyn, elle, planifie chaque détail avec une précision chirurgicale. « Faut que ça soit nickel, les filles, insiste Clare. Un faux pas, et on est cuites. »

Les scènes suivantes, c’est du pur suspense. Entre les moments où elles séduisent leur cible, les moments où elles récupèrent les infos sensibles, et ceux où elles doivent improviser pour éviter les pièges, c’est un vrai rollercoaster. « Putain, j’ai cru qu’on allait se faire gauler ! » lâche Naomi à un moment, le cœur encore battant.

Mais le plus drôle, c’est leur dynamique. Clare, toujours calme et réfléchie, tempère les ardeurs de Naomi, qui a tendance à foncer tête baissée. Et Delfyn, avec son humour noir, détend l’atmosphère quand ça devient trop tendu. « Si on se fait chopper, au moins, on aura passé du bon temps ensemble, non ? »

Leur histoire, c’est un mélange de ruse, de courage et de folie. Et une chose est sûre : Clare, Naomi et Delfyn ne sont pas prêtes de s’arrêter. L’appel du fric est trop fort, et elles sont prêtes à tout pour en avoir toujours plus. Comme dit Clare : « Dans la vie, y a ceux qui regardent passer le train, et ceux qui le prennent. Nous, on est dans le train, et on conduit. »

Et toi, tu monterais à bord ?

Voila le film ‘Dans l’cul Lulu

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Dans Le Cul Lulu, réalisé par l’énigmatique Alain Payet, est une plongée provocante et sans filtre dans les méandres de l’amour, du désir et des limites du couple.

Le film nous transporte dans le Paris de 1993, avec sa ambiance typiquement française, à la fois sensuelle et mystérieuse. Au cœur de l’histoire, on retrouve Elodie Chérie et Piotr Stanislas, un couple marié qui tient une boutique de chaussures en plein cœur de la capitale. Leur vie, bien que confortable, est rongée par une routine pesante qui les pousse à prendre une décision radicale : ouvrir leur mariage et explorer une liberté sexuelle décomplexée.

Dès les premières scènes, le film nous immerge dans le quotidien d’Elodie et Piotr. Leur magasin, symbolise à la fois leur réussite commune et l’étouffement qu’ils ressentent dans leur vie personnelle. Les regards qu’ils échangent en disent long sur leur malaise latent. Quand ils abordent enfin l’idée d’ouvrir leur couple, les dialogues sont d’une franchise charmente, capturant à leur excitation à l’idée de tout faire péter.

Ce qui distingue Dans Le Cul Lulu des autres films sur les relations libres, c’est son refus de tomber dans le cliché du drame, de la jalousie et de la rupture. Au lieu de ça, Beaulieu nous embarque dans une exploration sans tabou du libertinage à la française. Ce qui commence comme des expériences discrètes dans des endroits bien éclairés finit par se transformer en une quête effrénée de plaisirs interdits.

Elodie Chérie est tout simplement incroyable dans se film. Elle incarne à la perfection la métamorphose de son personnage, passant d’une femme timorée, à une libertine assumée et pleine de confiance. Piotr, n’a rien à lui envier : son jeu sobre et intense donne toute sa profondeur à un homme en proie à ses propres démons. Ensemble, leur alchimie est électrique, et leur évolution sonne juste, sans jamais tomber dans la caricature.

Visuellement, Dans le cull Lulu est un régal. Beaulieu joue avec les lumières et les couleurs pour créer une ambiance tantôt onirique, tantôt crue. Les scènes baignées dans les tons chauds renforce l’atmosphère à la fois intime et décadente du film. Évidemment, Dans le cul Lulu ne fera pas l’unanimité. Certains trouveront ses scènes explicites et son apologie du libertinage un peu too much, tandis que d’autres pourront critiquer son côté un peu idéaliste. Mais c’est justement cette audace qui rend le film si captivant. En refusant de se plier aux attentes de la société ou à un moralisme facile, Dans Le Cul Lulu nous pousse à questionner nos propres idées sur l’amour, le couple et la liberté.

Dans Le Cul Lulu est un film qui reste en tête longtemps après la fin du générique. C’est une œuvre qui ose bousculer les conventions et nous rappelle que la quête du bonheur, aussi décalée soit-elle, est avant tout une histoire personnelle. Si vous avez l’esprit ouvert et que vous aimez les films qui sortent des sentiers battus, Dans Le Cul Lulu est fait pour vous.

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