Dans la peau d’Ovidie est preuve qu’elle se prend pour Molière, alors qu’en réalité elle est un chinois dyslexique. Son jeu est plus plat que le mode d’emploi d’une planche à découper. Féministe ou non, ce prono n’est pas du cinéma.

Une Idée géniale sur papier.

Ovidie nous propose un film en quatre vignettes sur la sexualité féminine. “Enfin !” me dis-je, “un sujet neuf, audacieux, loin des clichés masculins qui réduisent les femmes à des personnages de catalogue La Redoute.” Le pitch est prometteur : des histoires de désir, de pouvoir, de liberté. On s’attend à du Eden Claire Denis, mais en plus woke. Sauf que… Ouais, c’est pas ça.

Parce qu’Ovidie, comme ma copine lorsqu’elle veut me faire un gratin dauphinois, à oublié qu’il faut savoir cuisiner.

Dans la peau d’Ovidie  a trois Vignettes (Où Tout Va Bien… Car Elle N’y Joue Pas)
Ces trois segments sont honnêtement pas mal. Les actrices sont convaincantes, le ton est juste, on sent une vraie patte de réalisatrice. “Tiens, elle a du talent !” me dis-je, optimiste comme un Français qui croit que le prochain gouvernement résoudra les problèmes avec les retraites.

Malheureusement, on arrive au quatrième segment.

Le Désastre (Quand Ovidie Passe Devant la Caméra)
Là, c’est le drame. Une performance aussi crédible que quand je faisais du théâtre à l’école et avec la conviction d’un GPS qui répète “faites demi-tour dès que possible.” Son regard ? Aussi expressif qu’un cadavre. Sa voix ? Monotone comme une messe en latin. Sa présence à l’écran ? Absente, comme mes économies après Noël.

Pourtant, sa chatte est brûlante ! Mais elle le traite avec l’ardeur d’un fonctionnaire à 16h55. “Allô, le désir féminin ? C’est pour un rendez-vous… non? Appelez demain peut-être?”

Le Mystère Ovidie (Pourquoi est-elle Célèbre ?)
Sa carrière repose sur deux piliers :
1. Son porno manifesto que personne n’a lu (à part trois critiques Télérama et son copain).
2. Le fait qu’elle parle de sexualité… mais sans jamais incarner la sensualité à l’écran.

C’est comme si moi, Jean Enfoiré, je faisais un one-man-show sur le marathon… en marchant. “Non mais l’idée est là, les chaussures sont belles, et j’ai un très bon coach !”

La Leçon (Pour Elle et Pour Nous)
– À Ovidie : “Chérie, le cinéma du cul est un métier. Si tu veux jouer, oublie les préservatifs. Si tu veux militer, écris. Mais ne nous inflige pas les deux en même temps.”
– Au Public : “Méfiez-vous des artistes qui surfent sur les manifestes. Parfois, le talent se cache… derrière la caméra.”

**Note Finale : 2/5**
(Dont 1,5 pour les autres actrices, 0,5 pour l’intention, et -0 pour Ovidie, par charité.)

P.S. Si Ovidie me lit : “C’est de l’humour, hein. Enfin… un peu.”

Que penses-tu de cette chatte, il est comment d’après toi ? C’est une fille qui mérite une surveillance 24/7

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Une chatte pour deux mecs – Cinq femmes, dix hommes : comment le libertinage réinvente la jouissance et fait trembler les conservateurs. Leur plaisir décuplé, leur liberté assumée – et si l’émancipation féminine passait par l’amour multiple ?

Le sexe est souvent confiné par les normes sociaux, c’est pourquoi cinq femmes ont choisi de briser les chaînes des conventions. Evelyne, Audrie, Bambola, Sylvia et Louise vivent chacune une relation sexuelle avec deux hommes, un choix qui suscite autant de fascination que de réprobation. Mais derrière le scandale et les jugements hâtifs, ces femmes racontent une histoire de plaisir, d’épanouissement et de renaissance personnelle.

Evelyne, rayonnante, décrit sa relation avec deux gars comme une source inépuisable de bonheur. « Chacun d’eux m’apporte quelque chose d’unique. Avec l’un, c’est une penetration profonde, tandis que Mathieu me fait avoir un haut-le-cœur. Je me sens aimée, désirée, et surtout, complète. » Elle confie que cette dynamique a transformé sa perception d’elle-même, lui offrant une confiance en soi qu’elle n’avait jamais connue auparavant.

Audrie, quant à elle, ne cache pas le plaisir physique et émotionnel que lui procurent ses relations avec son deux mecs. « C’est seulement une question de sexe.  C’est l’intensité de l’amour multiplié, la certitude que je peux être moi-même sans limites. » Elle raconte comment cette liberté a renforcé son estime d’elle-même, lui permettant de s’affirmer dans tous les aspects de sa vie.

Bambola, dont le nom évoque déjà une certaine audace, parle de ses deux partenaires, comme des compléments essentiels à son épanouissement. « Avec eux, j’ai découvert des facettes de moi que j’ignorais. L’un de mes hommes  m’apporte une certaine sensation de plénitude., tandis que l’autre me pousse à explorer mes désirs de la sodomie. Ensemble, ils m’ont appris à m’aimer davantage. »

Sylvia, souvent perçue comme la plus réservée du groupe, révèle que ses relations avec deux hommes ont été une révélation. « Je me suis toujours sentie obligée de choisir, de me limiter. Mais maintenant, je réalise que l’amour n’est pas une ressource rare. Chacun de mes partenaires m’apporte une forme d’amour différente, et cela m’a permis de me sentir plus entière, plus forte. »

Louise, enfin, décrit sa vie amoureuse comme une célébration quotidienne de la liberté. « C’est sûr c’est seulement une question de plaisir physique. C’est l’idée de ne plus avoir à sacrifier une partie de moi pour satisfaire les attentes des autres. Je me sens vivante, épanouie, et surtout, en paix avec moi-même. »

Une chatte pour deux mecs – Ces témoignages, aussi intimes que puissants, contrastent avec les critiques acerbes qui fusent de toutes parts. Les détracteurs parlent de « débauche » ou de « confusion émotionnelle », mais ces femmes balayent ces jugements d’un revers de main. « Les hommes ont toujours eu la liberté d’aimer plusieurs personnes sans que cela ne soulève autant d’indignation. Pourquoi, quand ce sont des femmes qui prennent le contrôle de leur vie amoureuse, cela devient-il un problème ? » interroge Sylvia, le regard déterminé.

En effet, l’histoire regorge d’exemples d’hommes ayant entretenu des relations multiples sans que cela ne remette en cause leur réputation. Mais lorsque des femmes comme Evelyne, Audrie, Bambola, Sylvia et Louise décident de vivre leurs amours au pluriel, c’est toute la société qui semble se sentir menacée.

Pourtant, derrière le sensationnalisme et les débats houleux, se cache une réalité simple : ces femmes ont trouvé dans le libertinage une source de bonheur et de plénitude. Leur estime de soi s’est envolée, leur vie affective s’est enrichie, et elles se sentent enfin libres d’être elles-mêmes.

Alors que les commentaires continuent de pleuvoir, une chose est certaine : Evelyne, Audrie, Bambola, Sylvia et Louise ne comptent pas revenir en arrière. Leur message est clair : Une chatte pour deux mecs est formidable – l’amour, sous toutes ses formes, mérite d’être célébré, pas jugé. Et si cela dérange, c’est peut-être que le monde a encore du chemin à faire.

La Video : Secretaires à tout faire

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